Régis Sénèque
Il dit qu’il habite, intimement.
Qu’il met en commun son intérieur.
Se met-il à nu, lorqu’il se dénude ?
Est-ce qu’il se compose lorsqu’il tend la main ?
Régis Sénèque dessine des horizons sur de la toile.
Des horizons qui se froissent, des horizons qui s’empilent.
Il repasse, presque, aux mêmes endroits.
Sur les mêmes tissus.
Il se déchauffe aussi.
Touche le fil du talon.
Et avance en équilibre sur toutes les coutures.
CC
Dans le cadre du festival « Escaut, Rives, dérives », en collaboration avec l’association Escaut & Acier